L'histoire sans fin.

C'est personnellement LE jeu que j'attendais x)

Donc le principe est simple
je commence une histoire le suivant continue et ainsi de suite...
Il ne faut pas obligatoirement que l'histoire ai un sens, au contraire c'est ça qui est drôle !

Ah oui! J'oubliais, écrivez quand même quelque chose poru que le suivant sache continuer, je m'explique :

Si j'écris " il était une fois. "
Ca mène a rien ...
Pensez donc à introduire des évenement, des choses. Le plus facile encore reste de finir votre truc par un mot comme " soudain" , " quand tout d'un coup" , ça permet au suivant de rebondir.

donc je commence : " Dans un petit village d'un pays dont prononcer le nom serai fastidieux, vit un géant des clairière nommé Balkimodor. il occupait ses journée à manger les tiges des pissenlit et coller les feuilles de ceux-ci pour en faire des collages, des bricolage qu'il désirait un jour offrir a sa bien aimé. Mais un beau jour...

BOUM ! CA FIT DES CHOCAPICS ! Alors le géant décida de...

Dans un petit village d'un pays dont prononcer le nom serai fastidieux, vit un géant des clairière nommé Balkimodor. il occupait ses journée à manger les tiges des pissenlit et coller les feuilles de ceux-ci pour en faire des collages, des bricolage qu'il désirait un jour offrir a sa bien aimé. Mais un beau jour BOUM ! CA FIT DES CHOCAPICS ! Alors le géant décida de les manger, car oui Balkimodr aimait les chocapic, autant qu'il aimait les pissenlit. Il S'engoufra dans la foret adjacente a sont village par un beau jour d'été quand il rencontra deux magicien. Leur allure lui paru étrange. L'un avança et dit:
- Mon ami est scizophrène
l'autre répondit : - Ton amis est schizophrène ? je pensait que c'était mon amis qui était schizophrène

Le géant ne su quoi répondre, il aurait put les envoyer valser d'un seul revers de la main, mais non. Il avait toujours rêvé de rencontré des magiciens, leurs tuniques embelissaient ses journée, alors il décida de ...

Dans un petit village d'un pays dont prononcer le nom serai fastidieux, vit un géant des clairière nommé Balkimodor. il occupait ses journée à manger les tiges des pissenlit et coller les feuilles de ceux-ci pour en faire des collages, des bricolage qu'il désirait un jour offrir a sa bien aimé. Mais un beau jour BOUM ! CA FIT DES CHOCAPICS ! Alors le géant décida de les manger, car oui Balkimodr aimait les chocapic, autant qu'il aimait les pissenlit. Il S'engoufra dans la foret adjacente a sont village par un beau jour d'été quand il rencontra deux magicien. Leur allure lui paru étrange. L'un avança et dit:
- Mon ami est scizophrène
l'autre répondit : - Ton amis est schizophrène ? je pensait que c'était mon amis qui était schizophrène

Le géant ne su quoi répondre, il aurait put les envoyer valser d'un seul revers de la main, mais non. Il avait toujours rêvé de rencontré des magiciens, leurs tuniques embelissaient ses journée, alors il décida de ne pas les attaquer, et de gouter à l'haricot magique qu'il avait vu tomber de la bourse d'un de ces deux schizophrènes. Aussitot avalé, le géant rapetissa de manière significative jusqu'à atteindre la taille des deux magiciens situés juste en face de lui.
L'un des deux dit ; - Mon cher ami, vous avez commis une épouvantable erreur, vous voilà réduit à notre taille, à moi et mes trois compagnons ici présents !
Le géant, complètement déboussolé, rétorqua ; - Ce n'est pas possible ? Quel est ce sortilège? Qu'est-ce donc que cela? Je veux retrouver ma taille normale !
- Ca ne sera pas aussi simple, mais heureusement pour vous, il existe un remède, mais pour le récupérer il vous faudra vous aventurer dans ....

Dans un petit village d'un pays dont prononcer le nom serai fastidieux, vit un géant des clairière nommé Balkimodor. il occupait ses journée à manger les tiges des pissenlit et coller les feuilles de ceux-ci pour en faire des collages, des bricolage qu'il désirait un jour offrir a sa bien aimé. Mais un beau jour BOUM ! CA FIT DES CHOCAPICS ! Alors le géant décida de les manger, car oui Balkimodr aimait les chocapic, autant qu'il aimait les pissenlit. Il S'engoufra dans la foret adjacente a sont village par un beau jour d'été quand il rencontra deux magicien. Leur allure lui paru étrange. L'un avança et dit:
- Mon ami est scizophrène
l'autre répondit : - Ton amis est schizophrène ? je pensait que c'était mon amis qui était schizophrène

Le géant ne su quoi répondre, il aurait put les envoyer valser d'un seul revers de la main, mais non. Il avait toujours rêvé de rencontré des magiciens, leurs tuniques embelissaient ses journée, alors il décida de ne pas les attaquer, et de gouter à l'haricot magique qu'il avait vu tomber de la bourse d'un de ces deux schizophrènes. Aussitot avalé, le géant rapetissa de manière significative jusqu'à atteindre la taille des deux magiciens situés juste en face de lui.
L'un des deux dit ; - Mon cher ami, vous avez commis une épouvantable erreur, vous voilà réduit à notre taille, à moi et mes trois compagnons ici présents !
Le géant, complètement déboussolé, rétorqua ; - Ce n'est pas possible ? Quel est ce sortilège? Qu'est-ce donc que cela? Je veux retrouver ma taille normale !
- Ca ne sera pas aussi simple, mais heureusement pour vous, il existe un remède, mais pour le récupérer il vous faudra vous aventurer dans les champs de blé de Freddy le chasseur au crottes de nez, passer le pont qui se situe derrière gravie les montagnes qui s'étendent au-delà et c'est seulement a la fin de cette escapade que la solution a ton problème s'offrira a toi. En effet un notre ancien maître a nous tous le sage aux milles ans s'est exilé de la société pour pêcher. C'est lui qui nous a donner cet haricot, partez, aventurez vous là bas pour lui demander le remède !
Notre ex-géant pris son courage a deux et décida donc de partir
C'est alors que les deux magicien répliquèrent et ...

Dans un petit village d'un pays dont prononcer le nom serai fastidieux, vit un géant des clairière nommé Balkimodor. il occupait ses journée à manger les tiges des pissenlit et coller les feuilles de ceux-ci pour en faire des collages, des bricolage qu'il désirait un jour offrir a sa bien aimé. Mais un beau jour BOUM ! CA FIT DES CHOCAPICS ! Alors le géant décida de les manger, car oui Balkimodr aimait les chocapic, autant qu'il aimait les pissenlit. Il S'engoufra dans la foret adjacente a sont village par un beau jour d'été quand il rencontra deux magicien. Leur allure lui paru étrange. L'un avança et dit:
- Mon ami est scizophrène
l'autre répondit : - Ton amis est schizophrène ? je pensait que c'était mon amis qui était schizophrène

Le géant ne su quoi répondre, il aurait put les envoyer valser d'un seul revers de la main, mais non. Il avait toujours rêvé de rencontré des magiciens, leurs tuniques embelissaient ses journée, alors il décida de ne pas les attaquer, et de gouter à l'haricot magique qu'il avait vu tomber de la bourse d'un de ces deux schizophrènes. Aussitot avalé, le géant rapetissa de manière significative jusqu'à atteindre la taille des deux magiciens situés juste en face de lui.
L'un des deux dit ; - Mon cher ami, vous avez commis une épouvantable erreur, vous voilà réduit à notre taille, à moi et mes trois compagnons ici présents !
Le géant, complètement déboussolé, rétorqua ; - Ce n'est pas possible ? Quel est ce sortilège? Qu'est-ce donc que cela? Je veux retrouver ma taille normale !
- Ca ne sera pas aussi simple, mais heureusement pour vous, il existe un remède, mais pour le récupérer il vous faudra vous aventurer dans les champs de blé de Freddy le chasseur au crottes de nez, passer le pont qui se situe derrière gravie les montagnes qui s'étendent au-delà et c'est seulement a la fin de cette escapade que la solution a ton problème s'offrira a toi. En effet un notre ancien maître a nous tous le sage aux milles ans s'est exilé de la société pour pêcher. C'est lui qui nous a donner cet haricot, partez, aventurez vous là bas pour lui demander le remède !
Notre ex-géant pris son courage a deux et décida donc de partir
C'est alors que les deux magicien répliquèrent et ... chantèrent en coeur ; - dale a tu cuerpo alegria Macarena, que tu cuerpo es pa' darle alegria y cosa buena, dale a tu cuerpo alegria Macarena, HEY MACARENA !!!!!
Ces deux vieux n'étaient décidément pas nets.
Avant de se rendre aux champs de blé de Freddy le chasseur aux crottes nez, il décida d'aller se rassasier dans la taverne la plus proche. Malgré qu'il soit devenu beaucoup plus petit, il avait si faim qu'il aurait été capable d'ingurgiter une tonne de viande bien saignante. Rien qu'à l'idée de s'en foutre plein la panse, il bavait déjà !
Lors de son chemin vers la taverne, il croisa un lutin, sortit d'un puits qui se trouvait juste là à une vitesse faramineuse. L'ex-bientot de nouveau-géant n'eut pas le temps de dire ouf que cet être étrange était au garde-à-vous devant lui, le torse bombé et la tête relevée, avec une lettre dans la paume de sa main, qui était tendue dans sa direction. Le géant pris cette dernière et lu ; "Cher ami, je suis au courant de votre malheur, retrouvez moi à minuit, dans le bosquet d'outre-tombe, à l'est de Kaltaror, j'ai quelque chose qui pourrait vous être utile."
Quand le géant, intrigué, détourna le regard de la lettre, le lutin avait totalement disparu.
Septique, il décida quand même de se rendre au bosquet d'outre-tombe, mais bien sur après être allé faire un festin à la taverne. Quelque chose, il ne savait quoi, le persuadait qu'il fallait absolument qu'il écoute cette personne anonyme, et qu'il aille à sa rencontre.
Il avança encore pendant une heure et arriva enfin à cette fameuse taverne, où il allait pouvoir reprendre de l'énergie avant de repartir. Il ouvrit la porte et...

Je peux corriger les fautes ?

Les fautes de MAGOT bien évidemment, car moi je n'en ai pas fait !
( Enfin en fait flemme de relire pour vérifier si j'ai raison )